| Dernières réponses | |  Il arqua un sourcil, il comprit a ce moment, que son frère souffrer peut être pareil que lui. Ou d'une autres façon. Puis il le suiva en lui répondant, mais il continua sa phrase.
- ... D'aider les gens qui ne peuvent être aidés que par nous, même si il y a que des contraintes ... Malheureuseument.
|
| | - On est certainement la famille avec le plus d'influence dans cette foutue ville. Et pourtant on ne vaut pas mieux que les "normaux" désignant les humains sans pouvoirs , et dire qu'à notre naissance nous étions, tous, destiné à un fabuleux destin. Il est beau notre destin...
Tom ne se rendait pas compte qu'il venait pas parler tout haut. Au moins c'était sortis. Presque aussitot il reprit sa marche, mais cette fois directement entre les tombes. Ce n'est pas qu'il avait besoin d'être seul, tout au contraire, mais il voulait tout simplement ne pas parraître avoir besoin d'aide.
|
| | Il le regarda, puis pensa a ce qu'il enait de dire. C'est vrai que depuis un moment il se posait des questions. Des questions pas toujours bonnes. Mais il n'y avait presque et très rarement de réponses. Malheureuseument il aurait voulut en savoir plus. Mais pas vraiment de chance, il n'en n'eu aucune. Il leva la tête, et vit le ciel noir qui commencer a planer au-dessus d'eux. Puis mit ses main dans ses poches, car comme il est très doué, n'avait pas de blouson.
- Tu as raison ... On a sûrement pas de chance.
A vrai dire, il n'e n'avait pas souvent de la chance. Malheureuseument por lui.
|
| | Il leva la tête, observant le ciel bleu qui commencait a viré au noir. Pourquoi, soudainement, son frère avait il decider de jouer le grand frère modèle? Il s'ennuyait? Ou simplement avait il juste pitié de voir Tom errer ainsi dans la rue?
- Je pense à... Ce que je pense.
Il commenca à marcher dans le cimetière, puis s'arrèta
- Notre vie est... Byzarre.
Le fait que lui, ses parents, ses frères étaient des sorciers sortaient déjà de l'extraordinaire. Idem pour sa soeur aînée tuée par un démon. Mais en plus de leurs problèmes surnaturels, tous, ils se rajjoutaient des problèmes et ne s'aidaient pas entre membres d'une même famille.
|
| | - Depuis a peine quelques secondes.
Sam' eu un sourire aux lèvres. Ben oui leur conversation sont toujours aussi interressante.
|
| | Tom enfuit ses mains dans les poches de sa veste. Le vent commencait à se lever, et l'air devenait de plus en plus frais. Au contraire, le soleil, lui, commenait tout simplement à se coucher. Des ombres se formaient transformant ainsi le cimetière en une chose de plus en plus menacante
- Pourquoi? Depuis quand ce t'interesse ce que je pense?
|
| | Il le regarda, puis ne sourit pas.
- Tu me gènes pas.
- Mais ça me gène que tu me suis.
- C'est pas la même chose.
Il vit qu'il pensait a quelque chose. Peut être une chose que lui aussi pensait, ça il n'en savait rien. Alors il lui posa laquestion, même si il c'est que il allait mal le prendre.
- Tu penses a quoi ?
|
| | Tom releva la tête
- Quoi? Dis le si je te gène. Ah oui, j'oubliais... Je te gène...
Et dire que pendant quelques secondes il ressentit une sympathie envers son frère. Mais leur rapport ne pourrait donc jamais redevenir comme avant. D'ailleurs Tom, en y réfléchissant bien, ne voulait pas que sa vie redevienne comme avant, cela ne serait pas gentil envers sa soeur défunte.
|
| | Il s'arrêta quand il vit que son frère le suivait. Il n'avit vraiment pas envie de jouer. Pas maintenant, il n'avait pas le moral, mais ça, son frère ne pouvait pas le comprendre. Malheureuseument la vie en a décidé autrement. Il le regarda, et arqua un sourcil.
- Qu'est-ce que tu me veux ?
|
| | Tom leva les yeux au ciel. Qu'est ce qu'il pouvait être débile par moment. Pourquoi donc n'arrivait il pas à avouer où il "révait" tant d'aller depuis une année. Tom savait que son frère savait ce qu'il savait [oui oui, sa existe comme phrase]. Lors d'un moment de brève absence de la part de Tom, il rejoignit son frère. Autant affronter l'adversité à deux plutôt qu'à un. Il ne dit rien, se contentent de serrer les poings au fond de ses poches, et de baisser la tête.
|
|
|